Les facultés que mobilise l'intelligence et que j'ai décliné au début de ce blog, mettent en relief la capacité d'un individu à résoudre des problèmes complexes. Un problème peut se définir comme une résistance à l'esprit humain. Qu'il s'agisse d'un problème exogène, autrement dit un problème qui n'appartient pas à son récit anthropomorphique, ou bien un problème endogène, autrement dit un problème qui appartient à son récit anthropomorphique, l' humain relève tous les défis, toutes les résistances qui se présentent à son esprit. La compétition encodée au plus profond de ses génes ne s'inscrit que dans des résistances irréductibles. Comment éliminer tous les virus sur la terre, comment exploiter les matières premières de l'univers, comment éliminer son voisin sans s'éliminer soi-même... ? L'intelligence humaine reste le garant de sa survie. L'intelligence inscrite dans la compétition, c'est la mise en oeuvre d'une stratégie. Réduire un problème, c'est-à-dire une résistance, c'est l'éliminer, la domestiquer, la manipuler, la contrôler, la dominer... Marquer son ascendant sur une résistance, c'est la percevoir, l'identifier, la mémoriser, la comprendre, la rationaliser, la décliner, la recréer, l'orienter, la ressentir, agir sur elle. Le jeu offre cette posture mentale où l'esprit est confronté à une résistance, son alter égo, résistance qui demande une stratégie. Les facultés humaines, inscrites dans l'entendement humain, semblent immuables. En revanche leurs solicitations et leurs codes différent selon les résistances. Après tout, la stratégie d'un chercheur en virologie, d'un trader, d'un moraliste, d'un architecte, d'un astronome, d'un artiste ne se ressemblent pas. Les facultés humaines peuvent s'appliquer à toutes les résistances, seul le code utilisé montre la spécificité de la résistance. Lorsqu'il s'agit de jeu de stratégie combinatoire abstrait, le code privillégié reste les mathématiques.
Les facultés que mobilise l'intelligence et que j'ai décliné au début de ce blog, mettent en relief la capacité d'un individu à résoudre des problèmes complexes. Un problème peut se définir comme une résistance à l'esprit humain. Qu'il s'agisse d'un problème exogène, autrement dit un problème qui n'appartient pas à son récit anthropomorphique, ou bien un problème endogène, autrement dit un problème qui appartient à son récit anthropomorphique, l' humain relève tous les défis, toutes les résistances qui se présentent à son esprit. La compétition encodée au plus profond de ses génes ne s'inscrit que dans des résistances irréductibles. Comment éliminer tous les virus sur la terre, comment exploiter les matières premières de l'univers, comment éliminer son voisin sans s'éliminer soi-même... ? L'intelligence humaine reste le garant de sa survie. L'intelligence inscrite dans la compétition, c'est la mise en oeuvre d'une stratégie. Réduire un problème, c'est-à-dire une résistance, c'est l'éliminer, la domestiquer, la manipuler, la contrôler, la dominer... Marquer son ascendant sur une résistance, c'est la percevoir, l'identifier, la mémoriser, la comprendre, la rationaliser, la décliner, la recréer, l'orienter, la ressentir, agir sur elle. Le jeu offre cette posture mentale où l'esprit est confronté à une résistance, son alter égo, résistance qui demande une stratégie. Les facultés humaines, inscrites dans l'entendement humain, semblent immuables. En revanche leurs solicitations et leurs codes différent selon les résistances. Après tout, la stratégie d'un chercheur en virologie, d'un trader, d'un moraliste, d'un architecte, d'un astronome, d'un artiste ne se ressemblent pas. Les facultés humaines peuvent s'appliquer à toutes les résistances, seul le code utilisé montre la spécificité de la résistance. Lorsqu'il s'agit de jeu de stratégie combinatoire abstrait, le code privillégié reste les mathématiques.