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kcnalp3 et la physique quantique n°2

Le 12/10/2015

Turing

 

kcnalp3 et la physique quantique n°2

 

kcnalp3 s'inspire des phénomènes inhérents à la physique quantique ( superposition, intrication, décohérence) Les processus cognitifs mis en oeuvre pour prendre une décision relèvent d'une posture quantique. Qu'est-ce-à dire ? Dans la physique classique, les catégories psychologiques sollicitées s'appuient sur une logique cartésienne. Quand le raisonnement se heurte à une difficulté insurmontable, il abdique, la difficulté échappe aux paradigmes rationnels classiques. 

kcnalp3 and the quantum universe

Le 15/06/2015

游戏宇宙包含的所有想象,所有可能的......一个生命,一个对象可以是活的和死的同时,我们可以同时打开和关闭一扇门,一个对象,一个生命可以同时在这里和那里,欢迎量子宇宙,欢迎量子宇宙kcnalp3游  

Hall  you like abstract game ?

Kcnalp3 et la physique quantique

Le 12/06/2015

 

 

 

 

 

 

 

Hallkcnalp3 et la physique quantique...

 

Il semble bien que les lois qui régissent l'univers microscopique, particulièrment l'univers quantique ne soient pas analogues aux lois qui régissent l'univers macroscopique. Par exemple, les phénomènes quantiques ( intrication, principe de superposition, décohérence) apparaissent irréalistes dans la physique classique. Au fond, comment peut-on se représenter les propriétés quantiques ( virtuelles, propabilistes, prédictives) qui mettent à rude épreuve notre intuition, notre entendement, notre conscience, notre cartésianisme.Comment peut-on se représenter un atome à la fois intact et désintégré ? Comment peut-on se représenter un chat à la fois mort et vivant ( Schrödinger ) ? Si les deux univers ( macroscopique et microscopique ) semblent se cliver, la décohérence semble jeter un pont entre le modèle mathématique abstrait pour décrire l'univers quantique et le résultat empirique conforme à notre bon sens, nécessaire à l'esprit cartésien et qui est propre à l'univers macroscopique.Dans l'univers quantique une porte peut être simultanément ouverte et fermée, chose impossible dans l'univers macroscopique.

En quoi kcnalp3 est-il un jeu quantique ?

L'univers du jeu qui relève de l'imaginaire renferme tous les possibles. 
Il va sans dire que kcnalp3 ne reproduit pas les lois de l'infiniment petit en ce que les éléments qui le composent appartiennent à l'univers macroscopique. En revanche, kcnalp3 s'inspire des phénomènes quantiques ( intrication, superposition, décohérence ) pour les mettre en oeuvre dans l'univers imaginaire du jeu. 

Le mécanisme de kcnalp3 est original. Il repose sur un système où les boules en guise de particules interagissent entr'elles et évoluent dans un espace tridimensionnel. L'espace tridimensionnel  est constitué de point géométriques bien définis qui représentent les limites du volume. En revanche les trajectoires  des particules à l'intérieur de cet espace impliquent de grandes probabilités. L'interaction qui existe entre les particules à soi et celles de l'adversaire modifient constamment la position des particules. Vituellement, une particule peut occuper n'importe quel point géométrique.

La métaphore de la physique quantique est incarnée principalement par les bosons ( 2 blancs, 2 noirs )

Les 2 bosons d'une même couleur représentent un seul objet sous forme de deux entités identiques, de même valeur, et réagissant de manière identique aux informations vis à vis des autres particules.

Plusieurs cas de figures peuvent se présenter aux joueurs.

1) Si les 2 bosons d'un joueur, par exemple les blancs, sont menacés simultanément par une ou plusieurs particules adverses, l'on peut dire que les bosons blancs sont intriqués et peu importe leur position spatiale. Si le joueur menacé ne peut changer la trajectoires des particules menaçantes en modifiant leur trajectoire, cela marque la fin de la partie

2) Si parmi les 2 bosons d'un joueur, par exemple les blancs, un seul boson est menacé par une ou plusieurs particules adverses  ( existence d'une ou plusieurs  interactions ) et le deuxième boson n'est pas menacé ( abscence d' interaction ) l'on peut dire que les bosons sont superposés ( l'un est vivant, l'autre mort ), peu importe leur position spatiale. Si le joueur menacé ne peut changer ni la trajectoire de son boson menacé ni la trajectoire des particules adverses en modifiant le jeu interactif, cela marque la fin de la partie.

3) Si aucun des 2 bosons d'un joueur, par exemple les blancs, ne sont menacés, autrement dit, s'il n'existe aucune interaction entre un boson à soi et les particules adverses, c'est l'expression du vide quant à la capture d'un boson.

 

kcnalp3 est un jeu vituel, probabiliste, prédictif, autrement dit, les points géométriques dans l'espace tridimensionnel purement virtuels offrent une myriade de possible à la trajectoire des particules pour éviter de perdre ou bien pour remporter la partie. Il n'est pas possible pour un joueur de choisir simultanément tous les possibles. Son choix se limite à une possibilité, ce qui constitue la décohérence.

je pense donc je joue

Le 16/04/2015

S'inscrire dans une nouvelle posture intellectuelle ayant trait à un jeu de stratégie, demande un petit effort. Certes,  l'époque privillégie le jeu où la réflexion n'a pas lieu d'être. Seule l'émotion garde un intérêt auprès du public. Pourtant, le jeu de stratégie quel qu'il soit mérite plus d'attention. Non pas jusqu'à l'ériger comme une idole, mais comme outil pédagogique. KCNALP3 concourre à l'enrichissement du corpus des jeux de société. Sa nouveauté offre de nouvelles perspectives à l'esprit. Le développement des facultés cognitives sont nécessaires au développement et à l'épanouissement personnel. KCNALP3 fait appel à la fois au cognitivisme, c'est-à-dire aux aptitudes à construire des représentations à partir de nos perceptions qui préfigurent nos raisonnements et appuient nos actions et au connexonisme, c'est-à-dire aux aptitudes à faire émerger en aval de la dynamique réflexive des structures instables, où pour mieux dire des représentations labiles. Il semble bien que la cognition obéisse à des phases.  Par définition KCNALP3 n'implique aucune dimension aléatoire. Il nécessite la mobilisation des facultés cognitives. Peuvent s'y appliquer trois grandes phases : 1) phase de processus ; 2) phase de résultat ; 3) phase de l'agir. Dans la première phase, l'on peut regrouper les facutés réceptives, la mémoire, la réflexion. Dans la deuxième phase, l'on peut regrouper la conscience, les représentations. Dans la troisième phase l'on peut regrouper la communication, l'action, la motricité, l'émotion. Lorsque l'on dispute une partie de  KCNALP3, une dialectique s'opére entre la représentation interne et la représentation externe. L'élaboration d'une stratégie passe nécessairement par le traitement de l'information. Dans la première phase, en amont du processus il y a l'encodage, c'est-à-dire l'extraction des premières informations. Les facultés réceptives remplisssent pleinement cette fonction. Par exemple,  au cours d'une partie, lorsque j'examine la situation, la sensation est le premier média à m'informer. Le stimulus visuel m'autorise à me focaliser sur une multitude d'informations. A la faveur de la perception visuelle et spatiale, je sélectionne et intégre des informations au regard de ma représentation interne. Cette phase d'identification amorce la faculté d'observation qui consiste à faire montre de discernement, c'est-à-dire à distinguer non seulement les objets du jeu, mais aussi  leurs fonctions dans le système. Il va sans dire que ces facultés à la fois réceptives et impressives doivent être fixées dans l'esprit. La faculté de concentration dont la fonction est primordiale y répond en construisant la première image mentale, image mentale qui  permet de poursuivre la pertinence d'une idée où bien de l'annihiler sous le contrôle de l'attention. Dans le processus dynamique qu'exige KCNALP3, la mémoire est fondamentale. Elle est le siège de l'apprentissage et libère les autres facultés. Elle transcende toutes les autres facultés, en ce sens qu'elle peut toutes les intégrer. Qu'elle soit à court terme où à long terme sa capacité à stocker les informations est illimitée. Elle est semblable au carbone dans les structures moléculaires. Dans la dimension propre à la réflexion,  c'est le que cortex qui est mobilisé. Partie supérieure de l'évolution, siège par exellence de la pensée. Dans le processus dynamique du traitement de l'information, la réflexion incarne l'aire corticale où peuvent s'organiser, se réogarniser, à l'infini, les informations. Le raisonnement garde toute sa primauté  en tant que faculté au niveau de la réflexion. A partir d'inférences formalisées par Pierce, c'est-à-dire, la déduction, l'induction et l'abduction,  je peux élaborer un raisonnement,  c'est-à-dire construire une représentation issue d'une dialectique entre un raisonnement analytique et synthétique. Si l'induction et la déduction aux yeux de Pierce signifient  l'exploration logique et sytématique d'un problème où d'une résistance, en revanche l'abduction relève de l'intuition. Cette notion d'abduction reste approximative. Comment peut-on juger si telle solution est pertinente ou défectueuse ? KCNALP3 demande  la mobilisation d'autres raisonnements. Par exemple, le raisonnement analogique considère différemment les structures en mettant l'accent sur l'interraction des catégories perceptives, couleurs, volumes, structures, sur l'aptitude à shématiser les structures dans l'espace tridimentionnel, sur l'aptitude à manipuler dans l'abstraction les mécanismes du système. le raisonnement dichotomique qui consiste à penser d'une façon discursive deux entités séparées relevant d'un même objet.  Si le raisonnement est fondamental dans la dimension  de la réflexion,  d'autres facultés parcitipent au processus dynamique du traitement de l'information. La conception est une faculté qui maintient en équilibre l'adéquation entre la recherche du sens et la somme des représentations mentales de l'idée. Par exemple, KCNALP3 le choix d'une tactique ne peut s'inscire que dans une situation générale ( aspect diachronique ) le sens d'une partie et dans une situation spécifique ( aspect synchronique ) représentation mentale  et fragmentée de l'idée. Quant à la volonté, elle est explicite sur le plan philosophique et psychologique. Le libre arbitre est fondamental dans les choix et la prise de décision. Avec KCNALP3, choisir telle  stratégie n'est pas aléatoire, elle reflète la préfiguration d'un acte intentionnel. Dans la vie,  l'échec ou la réussite contionne soit la culpabilité, soit l'arrogance. Dans l'imaginaire, rien n'est irréversible, tout est perfectible. L'imagination est la faculté qui répond le mieux à cette posture. Créer, inventer, découvrir des solutions neuves à des problèmes neufs, construire de nouvelles représentations, telle sont les ressorts de l'imagination. Dès que le processus dynamique du traitement de l'information est arrivé à maturation, la seconde phase mobilise   la représentation, la conscience. Avec KCNALP3, se représenter la partie de manière synchronique et diachronique, c'est reconstituer les structures dans l'espace tridimentionnel en ayant conscience de leurs cohérences, ce qui procure déjà un peu de satisfaction, autrement dit, prendre conscience de la représentation mentale, c'est contrôler sa stratégie en incluant celle de son adversaire. La représentation est l'ultime phase de la réflexion. Elle est le résultat sur lequel se fonde sa relation avec l'action. Elle autorise la prise de décision. A La troisième phase correspond l'agir. Elle regroupe la motricité, c'est-à-dire le moyen physique par lequel est accompli un acte ; l'action, c'est-à-dire le résultat de l'acte, phénomène irréversible, et pour finir l'émotion qui s'articule autour de la frustration ou l'épanouissement, c'est-à-dire être satisfait dans la réussite, être insatisfait dans l'échec.      

kcnalp3 simplicité quantitative, complexité qualitative

Le 09/04/2015

Que nous enseigne l'Histoire ? Que toute nouveauté n'est pas le résultat d'une spontanéïté. Faire du neuf avec du vieux, ce viel adage respire sans difficultés. Lorsqu'un système remplace un autre système, à coup sûr sa pertinence fait autorité. Lorsque le système alphabétique phénicien a supplanté le système hiéroglyphique égyptien, lorsque le système numérique arabe a supplanté le système numérique latin, l'homme a puisé dans son passé des représentations symboliques pour élaborer par des processus lents des systèmes perspicaces. Ces nouveaux systèmes dont nous sommes toujours tributaires, reposent sur une simplicité quantitative et une complexité qualitative inscrite dans l'abstraction. Les jeux de stratégies abstraits n'échappent pas à cette régle. Combien de tentatives vaines pour améliorer le jeu d'échec. au point d'arriver à élaborer des variantes, c'est-à-dire des solutions impertinentes. Est-ce à dire que le jeu d'échec reste un système indépassable ? Reprenons l'exemple du système numérique arabe. C'est le zéro, héritage indien qui fixe la nouvelle dimension du système numérique. Ce zéro, symbole de l'espace, du vide, du néant, combiné avec les autres chiffres devient positif. Il en va de même pour le jeu d'échec. Pour le dépasser, le transfigurer, il faut intégrer une nouvelle dimension. Cette nouvelle dimension modifie la posture intellectuelle. Ce nouveau jeu de stratégie existe... 

processus cognitifs, prise de décision, subsomption

Le 29/03/2015

Le jeu de stratégie abstrait à information complète nécessite une réflexion sophistiquée avant d'arrêter sa décision et assumer la responsabilité de chacun de ses actes par la manipulation des éléments du jeu. Avoir l' ascendant repose bien souvent sur une représentation qui transcende celle de l'adversaire. Une vision qui subsumme celle de l'adversaire découle d'une intelligence incarnée dans des processus cognitifs les mieux élaborés. Par exemple une mauvaise identification des informations peut corrompre toutes les autres facultés. Il en va ainsi pour toutes les facultés et toutes les catégories anthropologiques, autrement dit, le meilleur joueur c'est celui qui maîtrise et combine au mieux ses facultés et ses catégories anthropologiques.

stratégies et prédation

Le 27/03/2015

Rupture anthropologique ne signifie pas jeter aux orties le passé. Il s'agit simplement d'une nouvelle posture mentale plus appropriée à opérer un discernement sur le réel. Par exemple, si nous comparons deux individus semblables dans leur fonction, mais à des périodes différentes, nous nous avisons que leur posture mentale se caractérise par leur époque. Lorsque les premiers paysans en anatolie se sont sédentarisés  pour cultiver des graminés, ils ont opérés une rupture avec l'homme ceuilleur. La rupture n'est pas radicale. Entre le ceuilleur de graminés et le semeur de graminés, existe une nouvelle posture mentale qui est le résultat d'une nouvelle prise de conscience. Cette nouvelle prise de conscience est elle-même le résultat de paramètres exogènes qui ont facilité son avénèment. Changer ses représentations nécessite une accoutumance lente et progressive de la nouvelle réalité et un abandon lent et progressif de l'ancienne réalité. La transition autorise l'homme à s'adapter à sa nouvelle vie. Si le ceuilleur de graminés n'existe plus, en revanche le ceuilleur d'autres plantes, d'autres fruits sauvages témoigne de la non domestication absolue de la nature par l'homme. Le semeur de graminés s'est pris sans doute pour un diumurge, a l'instar aujourd'hui du génétitien qui modifie pour une raison économique le patrimoine génétique des plantes. Demain peut-être, les protéines que nous mangerons, que nous nous injecterons, que nous inhalerons, que nous absorberons par la peau, seront le résultat d'une sélection pour lutter contre la maladie, la veillesse. Au même titre que la période du semeur de graminés a modifié profondément l'homme en complexifiant son ordre social, économique, juridique, spirituel, politique, de même le génétitien des protéines entame le même processus. Quel rapport existe-t-il avec le jeu ? Chose curieuse, les mathématiques et la semaille se sont combinés pour donner naissance à des jeux. Les jeux archaîques se référent à l'agriculture. La quantification de la récolte, c'est-à-dire l'objet de survie du groupe s'est incarné dans la dimension ludique. Si les jeux de stratégies abstraits combinatoires ont une origine agricole, leur altération en s'inspirant des champs de bataille relève d'un glissement vers la prédation. A défaut de semer les graminés,  je vole la récolte de mon voisin. Ma posture mentale de chasseur m'y a préparé. Je prends de force le travail de l'autre. La plupart des jeux vidéos relèvent de cette anthropologie. Lorsque le serf au moyen âge demandait  protection à son seigneur, celui-ci en tant que prédateur, en  tant que chasseur, s'accaparait  de tous les biens du serf, y compris sa vie. La prédation aujourd'hui s'est complexifiée. On lance des OPA, on sature la dimension juridique de brevets, on élimine tout concurrent physiquement par les armes..Mais à la brutalité et à la violence sporadique s'est substitué des compromis, un jeu coopératif.       

stratégie une affaire d'abstraction et de théorie

Le 25/03/2015

Pourquoi l'esprit animé par l'abstraction l'emportera toujours sur l'esprit animé par la concrétude ? L'inclination est d'abord une posture intellectuelle. Quant à  l'orientation, elle  rend compte de la volonté, de l'énergie pour résoudre un problème, surmonter une épreuve, dépasser une résisance, réduire un obstacle, etc... Parfois la philosophie jette des éclairages sur les intelligences humaines. Parfois les expériences en labos en psychologie cognitive nous informent sur les intelligences humaines. Entre un esprit empirique et un esprit théorique, un gouffre sans fond sépare sans ambiguité ces deux postures mentales. Quand l'homme prend pour postulat l'expérience et finit par les théoriser, il alourdit son cerveau. L'expérience la plus simple nécessitera une myriade de théories. En revanche, quand l'homme prend pour postulat la théorie et finit par l'expérimenter, il libére son cerveau. La théorie la plus complexe nécessitera une expérience unique. La démarche empirique et univoque. Le postulat initial et unique qui consiste par exemple à résoudre un problème en projettant sur lui une batterie de questions, en d'autres termes l'amorce d'une théorisation de l'objet conflictuel, conduit à tatonner, à subir une voie parfois muette, parfois tyrannique, parfois illusoire. Pour la démarche théorique, le postulat initial et unique consiste  à résoudre un problème en visant la seule expérience, en d'autres termes la rencontre unique qui confirmera l'osmose entre une visions ou une représentation humaine et la réalité. Imaginons, par exemple, que nous soyons un homo-sapiens en quête de nourriture. La chasse aux mammouths est ouverte. Qui est le plus intelligent, l'homo-sapiens qui chasse frontalement le mamouth, y compris dans une stratégie de groupe, ou bien l'homo-sapiens qui a réfléchi sur le comportement des mammouths, leur pérégrination, leur alimentation, leurs moeurs. A Coup sûr, le premier clan,  celui qui a opté la chasse frontale,  prend des risques insensés. Tel sera le prix pour survivre. Dans ce cas de figure, jamais l'homme n'eût pu accéder à la domestication de l'animal. Celui-ci demeure effrayant, inaccessible. Le chasseur frontal fait une expérience ultime que le groupe mémorisera, théorisera, transmettra aux futures générations. En revanche, le deuxième clan, celui qui a opté pour une stratégie, d'abord théorique, réduit de beaucoup les risques dans la mesure où l'esprit n'est plus subjugué par une matière massive vivante, effrayante, impressionnante, mais animé par la réussite de tuer des mammouths en ciblant leurs points faibles, c'est-à-dire leur cerveau. La stratégie est d'abord une affaire de théorie.